Nous sommes "les gens"...

 

Je me baladais déjà pas mal sur FB, mais, là, j'avoue que, par les temps qui courent*, ça ne va pas s'arranger ! Bien qu'en ce moment, le temps soit plus suspendu, qu'en train de courir !

 

Sur FB, donc, j'y trouve de l'amour, de l'humour Il y a aussi des petites choses sans intérêt que je range dans le sac à bêtises pour ne pas encombrer le salon. Mais qu'est-ce que j'aime toutes ces créations ! Tous ces vieux trucs qui ressortent juste pour nous faire rire ou sourire.

Merci à tous ces généreux qui m'amusent. Merci à tous ces créateurs qui me font rire !

 

Dans tout ce foutraque, il y a tout de même un truc qui me grattouille. Un petit truc qui pue et qui revient même dans les conversations. C'est un truc qui existait avant... Un truc que j'avais déjà croisé dans le monde du bien ou mieux être, dans le monde des gens éveillés.

Est-ce qu'ILS vont enfin comprendre ? Qu'est-ce qu'ils leur faut de plus pour comprendre ?

Et oui, parce qu'il y a MOI... Môa ;-) et ILS... les autres.

Moi qui ai tout compris. Moi, l'être parfait. Moi, qui ai tout compris... Môa !

 

Je vous partage un post, qui commençait plutôt bien :

"Vu l'activité mondiale réduite, nous allons prendre conscience de notre impact environnemental et, peut-être décider de changer."

 

Oh que oui ! J'espère bien que NOUS allons nous poser 2 ou 3 questions sur la suite de l'aventure humaine. J'espère bien que, chacun, nous allons profiter de ce temps au ralenti pour ce regarder le nombril et faire une sorte de bilan énergétique personnel.

Profiter de ce temps pour une petite introspection....

Et, non, ça n'est pas un gros mot !

 

C'est une invitation à faire un bilan intérieur... Voir ce que nous avons, chacun, à offrir au monde de demain. Parce qu'un jour, nous allons ressortir de nos maisons. Oui, oui, nous allons nous retrouver, nous croiser, nous serrer la main, nous embrasser et plus si affinité !

 

Je reviens au post et je vous offre le premier commentaire :

 

"La plupart des gens sont tellement cons qu'ils ne se rendent même pas compte de ce qu'il se passe déjà... Alors comment veux-tu qu'ils se rendent compte de l'impact que ça va avoir sur notre planète ou sur l'économie... 

Ils se sont quand même rués sur le PQ !!!!! Pffff"

 

Et oui, je sais, c'est dur de revenir à cette triste réalité, mais nous sommes les gens.

Il n'y a pas "moi" et "les gens". 

Il n'y a pas moi qui sait et les autres.

Il n'y a pas moi qui fait bien et les autres qui sont des abrutis.

 

Il serait bon d'arrêter avec cette idée, légèrement égotique, que je fais mieux que les autres. Moi je suis une vraie écolo, mais les autres...

Moi, je fais ce qu'il faut,, mais les autres...

Moi, je ramasse les papiers par terre, mais les autres...

Moi, j'ai une conscience, mais les autres...

Moi, l'éveil spirituel... et les autres ....

Moi, l'intelligence... et les autres................................

 

Oui, certains ont eu besoin de faire un stock de PQ, de pâtes et de tant d'autres choses. Et après ? Oui, certains jettent encore leur mégots de clope ailleurs que dans un cendrier et après ? Oui, certains n'ont pas une poussière de conscience spirituelle, et après ? Oui, certains font pire que cela et après ?

 

On pourrait leur mettre un signe distinctif. Oh oui, un truc pour repéré les cons de loin. Ou on va envoyer les cons sur une autre planète ! Oh oui, comme ça on ne sera qu'entre gens biens ! 

 

Sauf que, quelque soit la place que nous occupons et le rôle que nous avons décider de jouer, nous serons toujours le con de quelqu'un. Ça va être dur de trier, non ?

 

En plus, je suis sûre, qu'on a tous à apprendre des cons.

 

 

Et si on changeait sa vision du monde  pour mieux vivre ensemble...

" Lors d'une pandémie, le confinement est appelé quarantaine.

Dans le Bouddhisme, il est appelé retraite.

Dans le cœur de notre maison, comme les méditants des temps anciens, nous pouvons en conscience allumer la lampe de la compassion et nous relier aux autres. " 

Lama Willa Miller

 

C'était mon gentil coup de gueule du jour. Je nous aime tels que nous sommes, même s'il y a des jours où c'est moins facile que d'autres. 

 

Je profite de cette période de disette de câlins pour vous embrasser fort.